1. LE LEASING COUTE CHER

Le leasing coûte cher, le leasing est plus cher qu’un achat… Ces préjugés à propos du leasing sont monnaie courante. En général, l’appareil loué n’est pas entièrement amorti. En effectuant le calcul avec une valeur résiduelle, le leasing est plus avantageux que l’achat.

Lorsqu’on compare leasing et achat, il arrive aussi souvent que l’on ne tienne pas compte des coûts de possession: inscription à l’actif du bilan, paiement des factures des fournisseurs, suivi des notes de crédit, enregistrement des actifs, enlèvement des appareils ICT et numériques à la fin de la durée de vie. Ces coûts administratifs et de gestion cachés ont un prix, que l’on a souvent tendance à sous-estimer. Dans le cas d’un leasing opérationnel, la société de leasing se charge de ces opérations, ce qui soulage le locataire et lui fait faire des économies.

Souvent, les entreprises préfèrent acheter, parce qu’investir ne rapporte plus aujourd’hui. Mais il ne faut pas oublier qu’utiliser son propre argent a aussi un coût, en termes de rendement, pour l’actionnaire. Le coût de l’argent est ce que l’actionnaire attend en termes de rendement, et non ce que l’argent rapporte en banque.

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2.  LE LEASING PASSE NECESSAIREMENT PAR UNE BANQUE

Vous pouvez évidemment passer par la banque pour contracter un leasing, mais pour certaines solutions de location, il peut être préférable de consulter d’autres canaux, afin de préserver les lignes de crédit que vous possédez déjà auprès de votre banque. Depuis la crise financière, les banques se montrent plus prudentes lorsqu’il s’agit d’octroyer de nouvelles lignes de crédit. Des acteurs indépendants sur le marché proposent une alternative intéressante.

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3.  POUR LA PLUPART DES ENTREPRISES, LE LEASING SE LIMITE AUX VOITURES ET AUX COPIEURS

Dans un environnement B2B, le leasing est d’abord associé, dans plus de 80% des cas, à un parc automobile ou de copieurs. Mais le leasing d’appareils ICT existe depuis plusieurs dizaines d’années déjà. Depuis l’avènement de la transformation numérique, l’on constate une formidable diversification des types d’actifs en location : écrans interactifs, systèmes de caisse, kiosques, appareils de livraison de colis ( “parcel delivery”) dans la distribution au détail; systèmes de billetterie pour la gestion des files dans les salles d’attente des hôpitaux; écrans d’identification numérique pour une meilleure fourniture d’informations aux patients et aux visiteurs dans les hôpitaux et même jusqu’aux chambres d’hôpital; tableaux numériques et écrans tactiles dans les villes, les communes et les écoles. Les exemples sont légion !

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4.  LE LEASING, SIMPLEMENT UNE QUESTION D’ARGENT

C’était peut-être vrai à l’époque du financement d’un AS400 ou d’un central téléphonique, mais cette époque est révolue. Depuis un certain temps déjà, le leasing est bien plus qu’une forme de financement. Les entreprises spécialisées dans la location proposent toute une série de services en plus du leasing proprement dit. Elles se chargent par exemple du paiement et de l’administration des factures d’achat. Pendant la durée de vie des actifs, elles proposent des outils de reporting en ligne qui assurent transparence, flexibilité et contrôle des biens en location. A la fin de la durée d’utilisation ou du bail, elles prennent en charge la logistique pour l’enlèvement des appareils. Ce faisant, les solutions de location apportent également une importante contribution à l’économie

De 5 meest gestelde vragen over Sale & Leaseback

5.  LE LEASING EST UNE FORMULE TROP RIGIDE

La rapidité de l’évolution technologique et l’exposition des actifs augmentent le besoin de flexibilité. Pendant la durée d’un contrat de location, les locataires veulent pouvoir ajouter des actifs au contrat… ou en retirer. Les clients dont l’activité est liée à la saison (saisonnalité) dans leur business model souhaitent des flux locatifs progressifs ou dégressifs. Toute société de leasing qui se respecte apporte aujourd’hui une réponse à la demande croissante de flexibilité. Qui plus est, les formules “as a service” ne cessent de gagner en importance. Il existe aujourd’hui d’innombrables variantes du « pay-per-use » pour pouvoir répondre de manière appropriée à la demande de flexibilité : paiement par équipement, par utilisateur, par patient, par heure, par Mb, etc.

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