Vous ne le saviez peut-être pas mais l’envoi d’un e-mail est source de consommation énergétique. De façon générale, une donnée numérique parcourt, en moyenne, de l’ordre de 15 000 kilomètres pour parvenir à son destinataire… Pensons donc à adopter les bons réflexes !
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Nettoyer (régulièrement) sa boîte mail
Si avoir une trace écrite est souvent indispensable en entreprise, reste que nombre de courriels ne sont pas réellement utiles au premier rang desquels les fameux spams. Plus que d’avoir le réflexe « déplacer dans la corbeille », il faut aussi penser à la vider régulièrement.
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Surveiller le poids de ses e-mails
Gardons aussi en tête que l’impact de l’envoi d’un mail dépend du poids de ses pièces jointes, du temps de stockage sur un serveur mais aussi du nombre de destinataires. Ainsi un courrier électronique de 1 Mo est responsable de 19 g de CO2… Pensons donc à limiter les fichiers attachés inutiles et à éviter de multiplier les correspondants.
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Réduire les impressions
Un e-mail agréable à lire est aussi un e-mail qu’il ne sera pas utile d’imprimer ! Pour cela, il est recommandé de soigner ses documents afin, qu’à l’écran, ils apparaissent clairement. En outre, il faut savoir que certaines polices sont peu consommatrices d’encre comme celles de type Ecofont. En cas d’impression, pensez aussi au recto/verso et au noir et blanc, mais aussi à utiliser du papier certifié !
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Une signature engagée
Enfin, pensons à terminer notre mail par une signature engagée du type : « Imprimer ce mail ne sert à rien. Le supprimer sert à notre planète » et alléger votre conclusion le plus possible. Cette petite phrase de rappel peut paraître anodine mais a largement fait ses preuves en incitant à limiter le gaspillage…